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Rêve du lundi 14 janvier 2013
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Il y a une semaine j’ai fait ce rêve :
« C’est un après-midi. Je marche dans les rues d’Abidjan. Je suis au sein dune foule. Quand, soudain levant la tête, je vois une gigantesque planète à l’horizon. Elle est immense comme une nébuleuse. Elle est bleue. Je m’écrie en moi-même tout surpris : « mais c’est la Comète ».
Tout le monde se tient immobile comme tétanisé par l’apparition inattendue. Mais on sent que tout se déchaîne dans les cœurs, chacun faisant appel à ses dieux.
Aucun bruit ne se fait entendre. Tout le monde attend.
On voit alors déferler de l’horizon, venant de la direction de la Comète qui est aussi la direction de la mer, une tempête d’eau, d’air, de nuages et de lumière comme une muraille de vagues gigantesques.
La tourmente avance à toute vitesse. Elle réduit en lumière tous les immeubles qui se dissolvent à son contact ou pour mieux dire devant son souffle. Ce n’est pas un déchaînement de force, mais une avancée irrésistible, invincible. Dans le silence. Dans la lumière.
Lorsque la Vague arrive à notre niveau, tout le monde se jette à terre. »
Interprétation :
Ce rêve est un rappel de l’imminente apparition de la Comète. Ce savoir doit être rendu vivant. Il doit vivre en nous à chaque instant. L’imminence de l’apparition de la Comète doit amener à se poser cette question : suis-je préparé à l’épreuve de la Lumière ? Suis-je prêt à supporter l’épuration que la Comète déclenchera ?
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Le message du guide est clair : remets-toi au travail avec zèle. Que l’image de la Comète dirige tous tes actes. Cet Événement d’une extrême grandeur doit être saisi dans toute sa gravité.
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Être dans la foule, derrière des immeubles est un avertissement. Ces deux éléments signalent que l’être est encore empêtré dans les constructions intellectuelles des hommes (la ville, les immeubles), dans la paresse, le manque de vigilance et la tiédeur (la foule). Or, tout ce qui n’est pas vivant sera anéanti, comme tout ce qui ne vibre pas complètement et entièrement dans les Lois de la Sainte Volonté. Avant que cela ne soit, ce rêve est donné en guise d’avertissement.
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Que chacun se remette avec zèle au travail intransigeant de transformation radicale de son être qui doit vibrer intégralement dans les Saintes Lois de DIEU. Un homme averti en vaut deux. Un homme surpris est à moitié pris. Méditons ces vieux dictons du bon peuple français :
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A tard crie l’oiseau quand il est pris.
A tard on ferme l’étable quant le cheval est perdu.
A tard se repent le rat quand par le col le tient le chat.
C’est trop tard qu’on va au conseil, après qu’on est venu aux mains avec l’ennemi.
Il est trop tard de fermer la porte, quand le loup est entré.
Il est trop tard de mettre du sel, quand la viande sent déjà mauvais.
Soualiho14,
Janvier 2013
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