Grand merci à vous, Victoria de me permettre de m’exprimer sur ce que j’ai avancé et donc sur la position que je soutiens quant au retour du Seigneur sur terre pour accomplir Sa Mission finale.
Vous comprendrez tout d’abord que ma démarche en annonçant cela est sincère et honnête. Je peux bien entendu comme tout petit esprit humain m’illusionner ou me tromper et je n’échapperai nullement à cela.
Cependant, je voudrai absolument dissiper tout malentendu ou fausse interprétation que j’aurai, et de LA PAROLE transmise par le Seigneur ou des dernières REVELATIONS, (dont l’appellation exacte est DERNIERS ENSEIGNEMENTS DE LA LUMIERE POUR LE SECOURS DE L’HUMANITE), Ecrits et témoignages offerts à l’humanité et que vous avez lus et reçus vous aussi.
En ce qui concerne les derniers Enseignements qui nous sont parvenus des Hauteurs Lumineuses, je ne peux que souscrire à vos propos et aux extraits que vous citez. Ils sont pour moi aussi, absolument exacts et authentiques, et je ne les rejette pas, bien au contraire, puisque je crois en leur réalité et y souscrit donc tout comme vous.
Les appels vibrants que les petites étincelles ont envoyé au SEIGNEUR IMANUEL/PARZIVAL et que Celui-ci a reçus, ainsi que l’intercession de la REINE DES CIEUX ELISABETH auprès du PERE ETERNEL ont bel et bien eu lieu : Les faits et les propos tenus sont pour moi absolument authentiques.
Question : Tout cela est-il pour autant en contradiction ou en opposition avec ce que j’énonce ?
Pour ma part, NON. Et je vais essayer de m’en expliquer, un peu longuement certes (que le lecteur me pardonne), mais cela ma paraît indispensable pour que celles et ceux ainsi, que vous-même Victoria qui m’avez opportunément interpellé, puissent se faire une opinion sur ce sujet dont la nature et l’importance n’échapperont à personne et que ne soit également établi aucune confusion.
Du point de vue du seul contexte historique, général et ordinaire (si je puis m’exprimer ainsi) que l’on peut connaître et appréhender les uns et les autres de cette trop longue période si trouble et si odieuse des années 1930 jusqu’à à la fin de cette horrible et épouvantable deuxième guerre mondiale, tous les témoignages, tous les documents sonores, visuels, écrits et autres, ainsi que les faits recueillis concordent bien pour dire que ce fût une époque infernale au sens propre du mot que les populations directement mêlées et emportées par ces événements durent vivre et subir.
En ce qui concerne plus particulièrement ce qui se passa à La Montagne même, et plus tard sur les lieux où finalement le Seigneur a été exilé Lui et Son fidèle et maigre entourage, peut-on imaginer quelles furent les pensées intimes, les raisonnements, les attitudes, le désarroi et le déracinement vécus par les tout derniers disciples, Maria et Irmingard ou les quelques familiers face à tout ce désastre ( bien entendu et à plus forte raison en dehors de ce que ressentait, pensait ou pouvait exprimer le Seigneur Lui-même jusqu’à Son dernier souffle) !
Loin de moi l’idée de remettre en cause ce qu’ont pu dire et relater les principaux témoins ou derniers fidèles parmi les fidèles les quelques rares disciples qui étaient encore auprès du Seigneur lors des toutes dernières années de Sa vie sur la terre de Germanie, tout doit nous inciter à la plus extrême des prudences.
Peut-être faut-il admettre et reconnaître que, malgré leur haute valeur spirituelle et morale, leur attachement farouche et leur foi intacte envers le Seigneur, ces personnes L’entourant se trouvaient en face de toute une série de situations et d’événements les plus extraorinaires et les plus dramatiques qui soient : d’une part, la présence proche et réelle du FILS DE L’HOMME qu’ils essayaient d’accompagner fidèlement jusqu’au bout (alors que nombre des leurs avaient déjà trahi ou s’étaient enfui) et d’autre part, en face et aussi tout près, une humanité qui avait sombré et qui vivait dans un véritable enfer. En face de tout cela, il peut paraître (en tout cas à mes yeux) assez compréhensible que des hommes, emplis de bon vouloir et de sincérité aient réagi avec leurs sentiments et leurs cœurs.
Question : Et qu’en avait-il-été il y a deux mille ans du temps du FILS DE DIEU JESUS ?
Plusieurs dizaines d’années plus tard, les témoignages des divers apôtres et leurs propos sur le SAUVEUR s’étaient déjà transformés et au fil du temps, les écrits qui en résultèrent furent réduits et dénaturés : on connaît les différents évangiles et les erreurs qui ont pu être reproduites et à ce propos, Le Seigneur explique très bien dans plusieurs conférences de Son Message les manquements de Ses « compagnons » qui en fait, n’avaient pas compris le sens exact de Ses Paroles ou des Ses Actes, et il se plaignait amèrement de leur immaturité.
Alors, pourquoi ne pas concevoir et comprendre que du temps de ABDRUSCHIN, une situation comparable ait pu se produire. Il y a bien ce témoignage de Joseph Wagner qui rapporte que le Seigneur aurait exprimé des paroles qui indiqueraient que plus jamais un Fils de Dieu ne foulerait le sol de cette planète. Cela est-il à prendre si j’ose dire comme « Parole d’évangile » ?
Le Vrai et Authentique Message de 1931 nous offre nombre de conférences où le Seigneur Lui aussi se désole de ce même manque de maturité qui existe et perdure dans l’être humain de Son époque (reproches touchant aussi bien Son entourage immédiat, que l’ensemble de l’humanité). Et puis, cette terrible et funeste faillite des appelés qui n’ont pu répondre à l’Appel ou qui, s’ils avaient tout de même donné suite à Celui-ci, ont lamentablement failli en L’abandonnant ou plus, en Le trahissant !
Ce que j’essaie de dire, c’est que malheureusement, les mêmes causes produisent les mêmes effets. L’être humain de la terre n’a pas évolué et n’a pas non plus compris les leçons du passé. Tout s’est à peu près reproduit de la même manière qu’il y a deux mille ans : Les deux Fils ont bien été assassinés, « liquidés », tel est le dernier terme que j’emploie à dessein parce que LA LUMIERE a été doublement trahie et meurtrie, d’une part par les ténèbres et d’autre part, par la faillite des hommes qui en résulta (je ne fais pas ici mention du meurtre perpétré contre le Prince de Lumière que fût déjà ABDRUSCHIN dans sa première incarnation du temps de Moïse en tant que Prince des arabes et qui n’était pas encore dans la véritable Mission dévolue au Fils de l’Homme, mais en quelque sorte en formation sur cette terre).
Le Fils de l’Homme, comme les textes l’avaient promis (l’Ancien et le Nouveau Testaments), est bien venu apporter SON MESSAGE DU GRAAL, LA PAROLE DIVINE aux hommes. Et qu’a-t-il rencontré dans ce second et long parcours d’apprentissage ainsi que dans cette première véritable Mission de cette incarnation terrestre qui fût menée en tant que MESSAGER DE LA PAROLE : l’incompréhension, le doute, l’indifférence, la haine même. Le monde des humains avait trop à faire avec ses propres petites et grandes affaires pour se soucier de la présence d’un ENVOYE DIVIN et ne croyait-on pas que la terre tournait toute seule ?
Ce que je voudrais essayer d’exprimer, c’est que pour moi, il n’existe pas de contradiction entre le fait qu’un être, fut-il un Envoyé de DIEU descendu parmi nous, et le moment crucial où il va quitter ce monde, puisse réagir avec des sentiments qui peuvent être ceux d’un simple esprit humain. Cette douleur simplement physique et le calvaire endurés par les DEUX FILS DE DIEU, cette souffrance intime et intérieure vécues par JESUS et ABDRUSCHIN, bien que FILS DIVINS, Ils la connaissaient et la vivaient sur notre plan terrestre dans toute leur chair et dans tout leur sang. Ainsi donc, malgré leur origine divine, le seul fait d’être dans la matière Leur donnait obligation d’obéir Eux aussi aux LOIS DU PERE. S’il n’en avait pas été ainsi, tout s’écroulerait car les LOIS n’auraient pas été respectées. Cela se peut-il ? Je ne l’invente pas : tout cela est aussi clairement annoncé par ABDRUSCHIN dans Ses Ecrits. Et vous aussi, je ne peux que vous rejoindre dans ce que vous exprimez très justement : « Pour la raison toute simple qu’Il n’est pas au-dessus des lois de Son Père »
Lorsque j’émets l’hypothèse que le Seigneur ne pouvait pas accomplir toutes les Grandes Promesses de la Parole pendant le temps qui Lui était accordé lors de Sa dernière Mission en Germanie, cela n’est que le simple et terrible constat de la tragédie qui s’est déroulée dans la période historique relatée plus haut.
Normalement, et je suis bien d’accord pour reconnaître que le Seigneur aurait pu continuer Sa Mission, si les esprits humains de cette terre à qui il est accordé le libre arbitre, avaient enfin et normalement reconnu IMANUEL, le FILS DE L’HOMME et changé radicalement et rapidement tous leurs comportements erronés. Cela a-t-il été le cas ?
Non, bien évidemment. ABDRUSCHIN avait déjà une cinquantaine d’années lorsque le bandeau se déchira et lorsque les longues années d’apprentissage et de « galère » (j’emploie un terme à la mode) furent achevées. Pouvons-nous simplement imaginer quelles furent les souffrances et les expériences bonnes ou mauvaises et en tous genres qu’Il eu à vivre durant tout ce temps pour connaître encore plus l’âme humaine et ainsi porter secours à l’humanité. Nul n’est besoin d’insister là-dessus et le Seigneur l’a encore parfaitement dit dans la conférence « LE FILS DE L’HOMME » dont j’extrais le passage suivant extrêmement important à mes yeux et à mon entendement :
« Tandis que le Fils de Dieu est né immédiatement en vue de Sa mission terrestre, la course du Fils de l’Homme, avant Sa mission, a dû décrire un cercle beaucoup plus vaste, avant qu’Il puisse entrer dans le commencement de Sa mission proprement dite. Venant des sommets les plus élevés, Il a dû, comme condition de l’accomplissement de Sa tâche, étant plus terrestre en comparaison de celle du Fils de Dieu, parcourir aussi les abîmes les plus profonds. Non seulement dans l’au-delà, mais aussi sur la terre, afin de pouvoir «éprouver» sur Lui-même toute la peine, toute la souffrance des êtres humains. C’est ainsi seulement que, l’heure venue, Il est devenu capable d’intervenir avec efficacité dans les défectuosités et d’apporter Son secours pour un changement. C’est pour cette raison qu’Il ne pouvait pas se tenir à côté de la vie de l’humanité, mais Il devait, au contraire, en vivant au milieu d’elle, connaître des amertumes et des souffrances. C’est donc encore, uniquement, à cause des êtres humains qu’Il a dû faire ce temps d’apprentissage. Mais, c’est justement parce qu’à l’esprit humain, dans son étroitesse, une guidance aussi élevée demeure incompréhensible, et qu’il n’est capable de juger que d’après l’apparence, que l’on cherchera à Lui en faire le reproche, de même qu’on le fit au Christ, en Son temps, afin d’entraver Sa tâche. C’est précisément ce dont Il dut souffrir à cause des êtres humains pour reconnaître les points les plus sensibles de leurs égarements, donc ce qu’Il a souffert et apprit à connaître, en le vivant, pour le bien à venir des êtres humains, que l’on utilisera comme une pierre pour L’atteindre, en une haine croissante, attisée par les ténèbres qui tremblent de peur devant leur anéantissement ».
Question : Pensez-vous donc à présent que notre SEIGNEUR et ROI pouvait donc accomplir et parachever Sa Mission avec l’édification et la mise en place du Royaume de Mille sous Sa propre conduite et dans la continuité immédiate du Message qu’il avait offert à l’humanité ?
Question : Croyez-vous que, dans ces mêmes années 1935/1940, le Seigneur ne se rendait pas compte et n’avait donc pas vu et compris que Sa mission sur terre avec Sa continuation dans cette même incarnation devenait une tâche impossible à réaliser ?
Ce serait Lui faire injure que de penser le contraire. Il savait, se taisait, mais il a cependant bel et bien écrit l’Œuvre Parfaite destinée à cette humanité, puisqu’entre autre et je le répète et le martèle une nouvelle fois :
« C’est ainsi que fut envoyée la Volonté de Dieu Elle-même, dans la chair et le sang, à Laquelle tout vouloir humain ne peut s’opposer efficacement, et qui par Son Existence, demeure dans la Création seul Maître et Guide … Pendant le Jugement, la Volonté de Dieu Elle-même est, donc, parmi ces êtres humains de la Terre. Elle déclenche auto-activement le Jugement pour qu’Il procède à un dénouement rapide et cette Volonté conduit aussi Elle-même la nouvelle édification, … Cependant, la Volonté Divine Elle-même ne demeure pas dans la chair et le sang ici sur Terre, pendant mille ans, mais une fois l’édification accomplie, Elle remonte vers le Château fort du Graal ».
Question : Cette édification et cet achèvement de Sa Mission confiés par LE PERE ETERNEL ont-t-ils eu lieu ? Non, bien sûr.
Vous mentionnez : « Le Seigneur ne savait pas qu’il allait revenir sur terre pour une autre mission. Pour la raison toute simple qu’Il n’est pas au-dessus des lois de Son Père. Les plans de la Lumière ne peuvent être élaborés qu’en fonction des décisions prises par l’humanité. Ces Plans ne sont pas préétablis de façon arbitraire ou de façon unilatérale ».
Je ne vous contredirai pas sur ce point en ce sens que DIEU LE PERE est, si je puis m’exprimer ainsi ‘le Seul maître du jeu » qui en tant que tel, détient les clés, mais bien entendu il ne peut agir que dans le cadre des LOIS établies.
Question : Concrètement, Ces LOIS provenant de l’ETERNEL seraient-elles mises à mal Si la mission complète dévolue à Son FILS n’était pas remplie intégralement ? Pour moi, la réponse est assurément OUI.
Autrement dit, les Plans élaborés par la Lumière ne le sont comme vous le dites très justement, qu’en fonction des décisions prises par l’humanité (lire la Conférence d’une clarté limpide à ce sujet : « Evénement cosmique » dont je soumets quelques passages au jugement du lecteur) :
« C’est précisément l’immuabilité de la Volonté divine, dans Sa perfection, qui exclut une intervention arbitraire de Dieu dans la Création. C’est cette même immuabilité qui L’a empêché d’éliminer purement et simplement Lucifer après sa chute causée par sa façon d’agir erronée. Elle doit tolérer également que les humains aillent à l’encontre des Lois de la nature donc de la Volonté divine, parce que l’esprit humain, par son origine de la sphère éternelle du spirituel-essentiel, dispose de la liberté de décision. C’est précisément dans les événements qui se déroulent dans la Création de matière fine et de matière dense que l’immuable perfection de la Volonté du Créateur doit se manifester comme une sorte d’entrave. Mais seuls des esprits humains médiocres et petits peuvent voir dans cette connaissance une limitation de Sa puissance et de Sa grandeur. Une telle interprétation n’est que le produit de leur propre étroitesse de vue ».
Et encore dans cette même conférence :
« L’aiguillage choisi par la libre décision de l’être humain peut être observé et ressenti exactement depuis l’origine; ensuite le parcours ultérieur peut clairement être prévu, parce qu’une fois la décision prise, il doit nécessairement se dérouler, au cours de son évolution, le long des voies ferrées correspondantes choisies, lesquelles représentent les Lois ancrées dans la Création. Cette circonstance rend possible la prévision de maints événements parce que les Lois de la nature – ou de la Création – dans leur impulsion évolutive, ne dévient jamais. Les millénaires ne jouent aucun rôle. Au sein de ces buts finaux prévus et absolus, naissent alors les grandes révélations dont l’image apparaît spirituellement à des privilégiés; elles arrivent à la connaissance de l’humanité par leur intermédiaire. Une chose, cependant, ne peut pas être prédite avec certitude: l’époque terrestre au cours de laquelle de telles révélations et promesses s’accomplissent!
Cela arrive à l’heure en laquelle un tel parcours de vie roulant sur les voies choisies arrive à une station intermédiaire ou au terminus. Le destin de l’être humain, de même que celui d’un peuple, comme enfin celui de l’humanité entière, est à comparer à un train qui attend en station sur une voie unique d’où débouche d’autres voies ferrées allant dans toutes les directions. L’être humain règle l’aiguillage selon sa préférence, saute à bord et donne la vapeur, c’est-à-dire: il l’anime. À son entrée sur la voie qu’il a choisie, on peut seulement mentionner les stations intermédiaires et le terminus, mais pas l’heure exacte d’arrivée à chaque halte; celle-ci dépend de la vitesse qui peut varier en fonction de chaque conducteur. En effet, c’est l’être humain qui anime la machine à sa façon. Selon son genre propre, il la poussera en avant, soit à une allure tranquille, soit avec une passion trépidante ou encore alternativement de l’une ou de l’autre manière. Plus le train d’un individu, d’un peuple ou de l’humanité s’approche d’une halte sur ses rails ou sur la direction de son destin, plus sûrement l’arrivée à destination peut être prévue et annoncée. Le réseau ferroviaire a, toutefois, aussi, quelques lignes secondaires qui, du fait d’un changement d’aiguillage, peuvent être utilisées pendant le parcours, afin d’emprunter une autre direction et atteindre ainsi une gare différente de celle envisagée en premier. Naturellement, cela exige un ralentissement à l’approche de l’aiguillage, un arrêt puis le changement d’aiguillage. La conduite plus lente c’est la réflexion, l’arrêt c’est la décision de l’être humain qu’il lui est toujours possible de prendre jusqu’au dernier point de décision, l’aiguillage enfin, c’est l’action qui suit la décision ».
En face de cette humanité qui avait lamentablement échoué, et de plus perpétré à l’encontre de Son FILS un nouvel assassinat, alors LE CREATEUR répondit, avec un infini AMOUR ainsi qu’une COMMISÉRATION et une MISERICORE sans pareil en donnant une réponse affirmative à l’Appel de Son Fils IMANUEL et à la Prière de la REINE DES CIEUX ELISABETH. LE PERE ETERNEL accorda donc à cette petite humanité cette GRACE INFINIE pour le retour de Son Fils afin que Celui-ci poursuive sa Mission interrompue et que les pauvres petits esprits humains puissent, une ultime fois, être sauvés de l‘abîme et de la perdition.
Ainsi, et toujours dans cette même conférence est-il annoncé :
« La perfection exige précisément que le Créateur, en envoyant Son aide directe à l’humanité faussement orientée, doive également compter avec une faillite possible de cette humanité lors de sa prise de décision. Du fond de Sa sagesse et de Son amour qui lui sont propres et naturels, conformément à la Loi, Il tient en réserve pour ce cas, d’autres chemins de secours qui viennent rejoindre les premiers, coupés dans certaines circonstances par la faillite de l’humanité ».
Pour moi, « la messe est dite » : La décision ne pouvait venir que du PERE, de l’ETERNEL, du CREATEUR, mais pas du FILS, Son Envoyé qui Lui, accomplit. Cela me paraît simple, logique et naturel.
Et Cela m’amène donc à votre question : « Que se serait-il passé si le Seigneur et la Reine des Cieux n’avaient pas élevé leurs prières ? »
Ma réponse est que LE CREATEUR serait de toute façon intervenu et aurait donc envoyé Son aide directe à l’humanité en la personne de Son Fils IMMANUEL afin que, durant le Règne de Mille ans, cette humanité puisse apprendre et progresser. Pendant cette longue et rude école, la volonté humaine ainsi que son libre arbitre se trouvent donc inopérants puisque la créature humaine sera déshérité de tous ses droits dans la création et ce n’est donc qu’à la fin de cette période probatoire et définitive que cette même humanité pourra ou non être sauvée (là encore, lire attentiviement la Conférence » le Royaume de Mille ans »).
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Enfin, et pour conclure (peut-être provisoirement ?), je vais donc en terminer avec cette dernière petite remarque à destination de Victoria en lui indiquant ceci :
Question : ABDRUSCHIN-IMANUEL-PARZIVAL, qui fût et qui EST La VOLONTE personnifiée et incarnée sur cette petite planète pouvait-Il exclure la moindre possibilité, omettre le moindre détail, Lui qui avait écrit de Sa Main et de Sa plume cette immense Œuvre qu’est LA PURE PAROLE DIVINE « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE » ?
DANIEL
P.S. : je me permets de revenir aux réflexions très pertinentes et si bien imagées apportées par le créateur de ce Blog Monsieur Soualiho KONE en date du 20 mars 2010.
http://graal1931.politicien.fr/2010/10/29/la-question-du-retour-du-seigneur-sur-terre/
Je conseille et j’incite fortement le lecteur à en prendre connaissance. Celles-ci voient s’affronter les différentes thèses entre partisans ou adversaires de la théorie du retour du Seigneur parmi nous, et je retiendrai simplement sa conclusion qui résume tout :
« Les êtres humains élaborent des plans dans la matière, Mais jamais encore Les plans de la Lumière n’ont coïncidé Avec ceux des humains ».